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Sunday Aug 22, 2010

3:34 minutes
Denis Hervé : Alors, l’école, l’idée de l’école, revient quand même à Madhura. C’est quand même elle qui a eu en premier l’idée de fonder cette école. C’est un peu suite à nos discussions sur la place que prend le yoga et la place que prend la tradition du yoga en général dans le monde moderne. On a décidé d’appeler cela l’Institut des sciences védiques et contemporaines. Comme on trouvait que le nom était un petit peu difficile à retenir, un peu compliqué, on a simplifié, ultérieurement, c’est devenu l’Institut Vidya, qui veut dire connaissance. Ça reste quand même en sous-titre l’Institut des sciences védiques et contemporaines.
Francine Hervé (Madhura) : Comment ça s’est construit? C’est sûr, que, mon expérience y est pour quelque chose. Celle de Denis également. Moi, j’ai été formé dans plusieurs écoles. Je suis passé du premier professeur en 1965 dans une tradition d’Anne Lisbeth qui était très proche de Sivananda, mais direct Sivananda, le grand Sivananda. Puis ensuite, j’ai étudié dans la tradition B.K.S.  Iyengar avec Noëlle Perrez qui était une élève directe d’Iyengar et lorsque je suis arrivé au Québec, fin 1974, je suis arrivé ici avec l’autorisation de Noëlle Perez pour enseigner le yoga. Donc, Iyengar, mais ça ne s’est pas très bien passé.
Je veux dire, à cette époque-là. Donc, j’ai fait une formation plus Sivananda avec Swami Shraddhananda
Le Lotus de Montréal?
Le Lotus de Montréal. J’ai obtenu mon diplôme. J’ai rapidement, évidemment, commencé à enseigner. Et j’ai rapidement été formatrice. Car il faut savoir que j’avais dix ans de formation derrière moi.
Donc, vous voyez, ça fait une différence entre aujourd’hui ou un professeur au bout de quelques, comment dire, sessions de yoga va faire sa formation d’enseignant et d’enseigner. Moi, j’avais dix ans de formation personnelle. Donc, voilà. Après ça, j’ai toute une collaboration au centre du Lotus, pendant 12 ans. C’est comme un. C’est peut-être un petit peu dépassé. Mais ça fait comme une totalité. Après quoi je suis retourné dans un travail, car j’ai toujours travaillé parallèlement à certaines périodes.
Je suis rentré ici en 2005, pour fonder l’Institut Vidya.
L’Institut d’étude des sciences védiques et contemporaines. Son sous-titre comprend que tout l’enseignement s’appuie sur les sciences védiques, donc la tradition. Science du yoga, science de l’Âyurveda et aussi l’astrologie védique ainsi que la science des mantras.

Sunday Aug 22, 2010

2:34 minutes
Décrire la méthode que Francine utilise, c’est qu’il n’y a pas de méthode. Justement. C’est-à-dire qu’elle s’adapte aux individus, à l’intérieur d’un petit groupe, donc c’est ce qui permet d’adapter. Et elle adapte l’enseignement aux conjonctions astrologiques, elle adapte l’enseignement à la nature ayurvédique, selon les enseignements de l’Âyurveda, aux natures de la personne.
Donc, il n’y a jamais deux cours pareils, jamais deux leçons pareilles, et c’est vrai qu’on dit qu’à la rivière il n’y a jamais la même eau, même si c’est la même rivière. Donc, c’est la même chose dans l’enseignement du yoga.
L’Institut Vidya comprend plusieurs aspects. On sait que le yoga est en mouvement. On est en constante évolution…  Pourquoi l’aspect contemporain?
Pourquoi l’aspect contemporain? Alors l’Institut Vidya, c’est un Institut Vidya. Vidya qui veut dire étude et connaissance.
Donc, nous avons cherché à situer la place du yoga dans le monde contemporain. Personnellement, ayant une formation scientifique au départ, j’étais de plus en plus intéressé, de plus en plus intrigué, positivement, par la validation qu’on commence à remarquer de plus en plus des enseignements traditionnels par la science contemporaine. Les deux se rejoignent!
Francine
Je vais un petit peu répéter ce qui a été dit par Denis. Il n’y a pas de méthode à proprement parlé. Il y a un contenu de base qui est préparé, qui est transmis. Évidemment, en plus, un partage qui se fait selon les personnes en présence.
Les personnes en présence guident. Vous avez du matériel. Moi j’ai pris une formation chez vous. Donc, c’est très structuré. Il y a quand même cette base qui est essentielle?
Tout à fait. Tout à fait. Dans une formation, c’est effectivement essentiel même de la remettre, de la donner. C’est vrai qu’il y a cette partie qui est très étudiée, très structurée, c’est vrai.

Parce que j’estime que le message doit être très clair, précis, scientifique, vérifiable au regard de la tradition, de la science, oui, je suis assez scrupuleuse là-dessus.

Sunday Aug 22, 2010

3:20 minutes
Est-ce que le yoga est un art ou une science?
C’est une grande question. C’est un grand débat. Je dirais que ce débat est un petit peu similaire à celui qui existe au niveau de la médecine. On a oublié que la médecine était un art pour en faire une science. Justement, une science s’appuie sur des données objectives et un art va utiliser ces données objectives avec d’autres paramètres, en particulier l’intuition. Un bon médecin a de l’intuition, sinon il prescrirait les quelques milliers de tests qui existent. Pourquoi fait-il un choix dans les tests, c’est parce qu’il a une intuition à partir des signes cliniques, à partir de son expérience, etc.  C’est la même chose en yoga. Alors, dire que le yoga, que la science contemporaine prouve que les enseignements du yoga. Oui, parce que les enseignements de l’anatomie, la physiologie, tel qu’on est capable aujourd’hui avec notre technologie d’aller faire certaines expériences permettent de prouver ce que les anciens affirmaient de leur expérience vécue empirique.
Donc l’Institut Vidya au niveau de la science contemporaine touche à cet aspect scientifique?
La recherche. La recherche parce que c’est important d’apporter cette validation pour intéresser au yoga des personnes qui sont du monde scientifique qui ne s’y serait pas intéressé autrement en rejetant cela du revers de la main en disant que ce n’est pas prouvé, etc.  Donc, ça permet d’élargir l’implication sociale du yoga. On a maintenant des personnes qui sont des enseignants en yoga, qui sont des médecins eux-mêmes. Donc, qui peut avoir une écoute auprès de leur milieu que n’ont pas des gens qui ne sont pas de ce milieu là? Donc, ça permet d’élargir de beaucoup le champ d’action et d’implication sociale du yoga.
Dans l’Institut Vidya, disons que c’est le contenu de l’enseignement, dans les formations que nous donnons, qui s’appuient à la fois sur la tradition et à la fois la recherche scientifique. Nous ne faisons pas de recherche scientifique, nous ne sommes pas équipés pour faire de la recherche scientifique, mais par contre nous sommes très attachés à aller rechercher toutes les preuves scientifiques qui vont étayer, parallèlement, aux enseignements traditionnels. Je donnerai l’exemple des formations en anatomie, anatomie physiologique du yoga où on étudie justement les effets des postures, des effets des postures, qui ont été remarqués empiriquement après des siècles, si ce n’est pas des millénaires de pratique et on va chercher en même temps des informations de laboratoires, de physiologies, d’Instituts de recherche clinique contemporains qui ont fait des expériences. Effectivement, sur des pratiquants de yoga avec groupes témoins qui ne pratiquaient pas le yoga, groupes pratiquant le yoga, etc.  Donc, avec une valeur selon les critères de la recherche scientifique actuelle. Maintenant, ont dit que c’est une recherche objective : Les ennemis, si je peux dire, du yoga, vont toujours dire que ce n’est pas scientifique. Je me permettrai de souligner que la médecine actuelle repose sur environ 5,000 hypothèses non prouvées.

Sunday Aug 22, 2010

3:49 minutes
Alors, donc, il y en a plusieurs.
La formation yoga pour les enfants. Qui va s’adapter aux enfants, être beaucoup plus ludique, être très dynamique. Mais en même temps, permettre de canaliser l’énergie, les énergies débordantes qu’ils peuvent manifester dans un but positif et de manière à ce qu’ils soient mieux, qu’ils soient plus ouverts. Qu’ils aient des bonnes relations avec leurs familles. Et, disons que ça stimule leurs capacités d’apprentissage à l’école. Ça, c’est le but pour les enfants.
Disons que, Anatomie, physiologie du yoga, a été conçut pour permettre aux professeurs de yoga, d’être toujours plus pointus dans leurs explications aux élèves quand ils présentent des précautions, des contre-indications et des effets aux postures.
C’est sûr que c’est écrit dans tous les livres et tout le monde peut le lire. Mais le pourquoi, et bien, c’est ce qui est abordé par Denis dans la formation « Anatomie, physiologie du yoga ».
La formation yoga aux ainés comprend deux volets :
— Le yoga sur chaise; et
— Le yoga sur tapis
Le yoga aussi avec des supports et donne de la formation sur les effets du vieillissement, qu’est-ce que ça touche. Et par voie de conséquence, quelles contre-indications et quels effets peut-on attendre de certaines postures pour ces personnes.
Alors, le yoga sur tapis, c’est la même chose.
Toujours, on va faire attention selon certaines pathologies sont spécifiques aux ainées et bien on ne fera pas les choses de la même façon. Voilà le yoga aux ainées.
Le yoga pour le dos, bien, suit le même processus. C'est-à-dire que des personnes arrivent : bien, moi j’ai des problèmes au niveau cervical. J’ai eu une grosse opération au niveau des lombaires, etc.  Évidemment, les personnes ont envies de faire du yoga. Le yoga leur est bénéfique, parce-que, il faut savoir quelque chose, c’est que des postures, si un est en état de crise, de douleur, de souffrance, il n’est pas recommandé de faire certaines postures. Mais en dehors de cela, les postures vont permettre de renforcer le dos en dehors des périodes de crise.
Donc, ces personnes vont « récupérer » leurs dos. Puis tout ça, vous savez, se fait parallèlement à la médecine et avec certificat médical. On ne travaille pas contre, on travaille avec.
Et les médecins recommandent, aux personnes, de justement faire un peu d’exercice et le yoga est très approprié.
Denis : Pour avoir un impact, quand même, et un enseignement qui soit relativement personnalisé, comme il y a un côté toujours pratique dans l’enseignement, on est obligé de prendre de petits groupes, on ne peut pas faire ce type d’enseignement à de gros groupes.
Quels sont les plans d’avenir pour votre école?
Francine : Je dois vous avouer que je ne fonctionne pas vraiment comme ça. Puisque comme je vous ai dit : Je m’adapte. Le yoga s’adapte. Donc, en fonction des besoins, le yoga va continuer à s’adapter selon ce qui va se passer. Là je n’ai pas le contrôle sur l’évolution des masses (rires)

Saturday Aug 21, 2010

3:19 minutes
Denis : Un exemple de générosité c’est qu’elle est prête à partager sa connaissance sans rien attendre en retour. Parce qu’elle privilégie la cause et le yoga avant l’individu et la personne.
Sylvie Gendron : Francine m’enseigne depuis environ cinq ans et même un peu plus. C’est une femme qui a de belles qualités, qui a une belle qualité d’accueil. Elle accueille les gens, tel qu’ils sont, sans manifester de différence pour une élève ou pour une autre. C’est une excellente vulgarisatrice. Elle vulgarise la science du hatha yoga d’une manière exceptionnelle. Elle a un don du ciel, c’est sa voix. Elle a une voix extraordinaire. Quand on a les yeux fermés, on se sent bercé par sa voix. C’est magique, spécialement pour le yoga nidra ou elle excelle vraiment. Alors, ce sont des belles qualités. C’est une femme spirituelle sans en parler. C’est vraiment… Francine, c’est davantage par ce qu’elle dégage. Elle fait ce qu’elle est. C’est magnifique. Elle a une belle ouverture, une belle présence et une belle adaptation.
C’est ça qu’on recherche quand on veut apprendre sur nous-mêmes, non?
Sylvie : Oui, c’est ce qu’on recherche. En fait, elle nous inspire par ce qu’elle est! Alors, elle n’a presque pas besoin de nous convaincre. Juste à la voir aller, à la regarder, à l’entendre. On a le goût de faire notre partie de chemin à nous. Alors, je pense que c’est sa plus belle qualité. Elle ne nous dit pas quoi faire. Pas du tout.
Francine : Il y a une vingtaine d’années, Denis et un de ses amis qui étaient un de nos élèves en yoga sont allés voir un grand voyant.
Malheureusement décédé. Mais c’était quelqu’un qui entrait en transe, qui était vraiment. Moi aussi, je l’ai rencontré parce que quelqu’un avait voulu que je l’accompagne. C’était quelqu’un de grand. Et ils sont allés. Dans leurs questions. Ils ont posé des questions sur moi, sur mon enseignement. Quelque part, ils ont voulu me vérifier. (rire, rire)
Quand ils m’ont dit ça, c’est ce que j’ai fait. (Sourire). Chéri, ce n’est pas possible. Ça m’amuse ce genre de chose. Et puis, évidemment, le voyant leur a dit : comment pourriez-vous résumer son enseignement? Ils sont restés bouches cousues.
Puis d’un seul coup, il y en a un qui s’est mis à rire, à rire et à rire. Et, puis le voyant dit : Bien oui, c’est son enseignement : la joie, le rire.

Saturday Aug 21, 2010

2:21 minutes
Je me souviens l’année dernière, j’écoutais des informations dans l’auto on disait à la rentrée : Il y a beaucoup de violence dans les écoles et moi de répondre : « Le yoga est la solution » cette année, ce que j’ai entendu, est toujours aussi triste, sinon plus, c’est : « Il y a dix pour cent des enfants qui entrent au préscolaire qui souffrent de dépression ». Ça, je suis au bord de pleurer. Je ne le supporte pas. Et, le yoga EST la solution. Et je peux vous dire que les enfants le sentent que c’est leur solution. Ils le sentent très rapidement.
Denis : Maintenant, ce que je peux dire c’est que ce ne sont pas les tests qui ont l’importance, c’est plutôt la façon dont l’enseignement s’est communiqué, c’est-à-dire de façon traditionnelle. En ce sens que dans la tradition, on ne va pas suivre un cours puis on rentre chez soi. Dans la tradition on vit avec le maître. Donc, il y a une osmose. L’enseignement il n’était pas dans les cours de yoga, dans les cours de hatha, mais il est dans la façon de vivre. Donc, il s’agissait davantage, je dirais, d’entrer en yoga que de faire du yoga.
Effectivement, l’examen final, comme je dis des fois, en riant, à des professeurs que je rencontre, en yoga, c’était comme un examen postdoctoral. C’est-à-dire que, souvent, quand on donne une formation, les élèves disent à propos de l’examen : ah, ben ça, on n’avait pas ça dans les notes. Je dois dire que je n’avais pas grand-chose dans mes notes. C’était un examen d’intégration, que j’ai vécu. Donc l’examen il se continue tous les jours.
Qu’est-ce que vous voulez dire par l’intégration du vécu?
Intégration du vécu, par exemple, je donnerai, une des questions, qui était comment on vit les huit étapes des sutras de Patanjali, de l’enseignement de Patanjali, dans une posture! (Pause)
Évidemment, je me suis amusé de poser la question à plusieurs professeurs certifiés et expérimentés. J’ai eu beaucoup de « ben, ben, ben » comme réponse. C’est un exemple.

Saturday Aug 21, 2010

2:31 minutes
Entre l’amour et la peur, qu’est-ce qui est le plus fort?
Ce devrait être l’amour. Mais la peur est très forte. Eh oui, c’est tout une lutte.
La peur d’aller de l’avant? La peur de changer? C’est ça, c’est de cette peur que vous parlez? Et l’amour, c’est l’amour de quoi?
L’amour d’être, l’amour de continuer d’évoluer.
Donc, vous opposez la peur d’évoluer à l’aspiration d’évoluer. C’est ça?
Normalement l’aspiration est plus forte. Si je compare ces deux aspects. L’aspiration est plus forte.
Est-ce qu’un est plus dans l’autre?
Ou, pourquoi l’aspiration est plus forte? Pourquoi l’amour devrait être plus fort alors que vous avez commencé votre énoncé en exprimant, avec certitude, que la peur est très forte?
La peur est très forte. C’est elle qui mène le monde. Faut voir que le monde est mené par la peur.
Ça ne veut pas dire que sur un plan évolutif, on va obligatoirement lui donner corps si notre aspiration est plus profonde.
Bon, d’abord pourquoi cette aspiration serait plus forte? Tout simplement, parce qu’à force de se libérer, on va dire, de tensions, de toutes les traces que la peur à laisser au niveau de notre corps, au niveau de notre mental, on les élimine avec les pratiques. Donc, on est beaucoup plus en contact avec notre aspiration profonde. Et là, il y a comme… on bascule de la peur vers cette aspiration qui devient très forte et qui va nous permettre d’avancer.

Saturday Aug 21, 2010

2:36 minutes
Dans votre cheminement personnel, comment vous continuez malgré les obstacles?
Le petit truc. Quelque soit, si ça persiste. Le truc c’est de pratiquer. Faut savoir qu’il n’y a pas de miracles, hein! Ce n’est pas parce que vous pratiquez une fois, un pranayama ou une technique de méditation, que les choses vont se régler! C’est la régularité qui fait qu’à un moment, il va y avoir ce qu’on appelle en science « Les sauts quantiques »! D’un seul coup. Mais il faut… continuer à pratiquer.
Même si c’est désagréable. Même s’il y a de la résistance?
Bien sûr à un moment la résistance va céder, à la pratique. Si vous continuez à lui donner de la force. Non. Il faut pratiquer, malgré cette résistance. Puis à un moment donné elle cède. Il faut utiliser quelquefois un arsenal un tout petit peu plus important. Au point de vue de la pratique. C'est-à-dire de faire des pratiques un peu plus intensives sur un certain temps. Et là on se détermine, pendant trois semaines, tous les jours, je fais une pratique de deux heures avec telle, telles, telle technique, on y ajoute le mantra. Ça ne veut pas dire qu’après trois semaines, les choses auront débloqué. Ça peut être pareil. Il faut toujours de la patience. Et il faut savoir que si nous sommes responsables de notre transformation, de notre devenir, il ne nous appartient pas qu’à nous. Il y a aussi ce qu’on appelle l’acceptation. Il y a quelque chose souvent à apprendre en arrière de cela et tant qu’on ne l’a pas compris, appris.
Intégrer.
Voilà!

Saturday Aug 21, 2010


1:13 minutes
Le yoga est arrivé le premier. Dans l’ouest. Dans notre occident. Puis ensuite, il y a une dizaine d’années, l’Âyurveda commence à reprendre sa place. Mais ce sont deux sciences qui sont très liées. Donc, j’ai du bonheur aussi à partager cette expérience dans cette formation.
Vous avez un site web?
Oui, tout à fait, le site c’est Quantum point org. Q U A N T – À U  M point ORG. Et puis les cours que je donne ici dans le voisinage et un yoga articulation et un yoga pour le dos. Mais ça reste…  vous savez quand on dit : je donne un cours de yoga pour les articulations ou pour le dos, je le précise : Ça reste du yoga. C'est-à-dire que dans la partie asanas je vais tenir compte des fragilités des personnes. Mais le yoga est de haut niveau avec le temps.

Ayurveda

Saturday Aug 21, 2010

Saturday Aug 21, 2010

1:13 minutes
Le yoga est arrivé le premier.  Dans l'Ouest.  Dans notre occident.  Puis ensuite, il y a une dizaines d'années, l'Âyurveda commence à reprendre sa place.  Mais ce sont deux sciences qui sont très liés. Donc, j'ai du bonheur aussi à partager cette expérience dans cette formation.
Vous avez un site web?
Oui, tout à fait, le site c'est Quantum point org.  Q U A N T – A U  M point ORG.  Et puis les cours que je donne ici dans le voisinage et un yoga articulation et un yoga pour le dos.  Mais ça reste...  vous savez quand on dit:  Je donne un cours de yoga pour les articulations ou pour le dos, je le précise:  Ça reste du yoga.  C'est à dire que dans la partie asanas je vais tenir compte des fragilités des personnes.  Mais le yoga est de haut niveau avec le temps.

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